La villa Manon (1907) Construite en 1907, pour Benjamin Teissier, ancien négociant au Mexique, la villa Manon se souvient de la silhouette verticale de
la villa Morélia achevée sept ans plus tôt. Passionné par les fleurs et les plantes, son propriétaire entretenait un jardin aux allées courbes et
nombreux parterres fleuris. Une rose porte son nom (la rose Benjamin Teissier) exposée au parc de la Tête d'Or à Lyon.
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La villa Morélia (1900) Edifiée par les quatre frères Audiffred, anciens négociants à Morélia et propriétaires du magasin "al puerto de Liverpool", la villa Morélia,
du même nom est un brillant exemple de l'architecture éclectique, à la fois inventive et fantaisiste qui distingue les constructions de la fin du XIXème siècle.
On relèvera le puissant effet de silhouette vertical, l'extrême sophistication des combles en ardoise d'Angers autour de la poivrière, l'utilisation décorative
de la brique qui se poursuit dans le traitement des souches de cheminée. La réfection récente de la toiture, dans le matériau d'origine, témoigne d'un vif et
remarquable souci de conservation.
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La villa Javelly (1910) Edifiée par l'architecte du château des Magnans, la grande villa Javelly évoque l'architecture de villégiature de fin de siècle.
Son traitement polychrome, l'introduction d'un attique (demi-étage), les combles très adoucies trahissent une influence italienne toute proche.
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Les Charmettes (1910) Remarquable par la richesse et la variété de ses percements , la villa multiplie les éléments de la grande résidence consacrée à la
villégiature.
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